DROIT DES VICTIMES

Avocate au barreau de POITIERS, j’assure la défense des victimes de crimes et délits, devant le Tribunal Correctionnel et la Cour d’Assises de Poitiers, Saintes, Tours et Bordeaux.

Avant le procès

Tribunal Correctionnel ou Cour d’Assises
Je vous reçois à mon cabinet d’Avocat à POITIERS, avec bienveillance, écoute, discrétion et respect.
Si vous le souhaitez, je puis rédiger une plainte que je vous soumettrai avant de l’adresser à Monsieur Le Procureur de la République.
La plainte rédigée à l’aide des informations que vous me communiquerez vous permettra de vous reconnaître en votre qualité de victime et surtout de mettre des mots sur vos ressentis.

Le procès

Tribunal Correctionnel ou Cour d’Assises
Il s’agit de convaincre le Tribunal Correctionnel ou la Cour d’Assises de ce que vous avez vécu et comment vous l’avez vécu.
Ces atteintes à votre personne ou à vos biens seront réparées par le versement de sommes d’argent.
Je peux en votre nom demander réparation de votre préjudice matériel, moral et/ou corporel.
Si l’auteur des faits est insolvable, il est possible de faire des recours spécifiques pour obtenir les sommes qui vous sont dues.

Un délit en recrudescence : l’abus de faiblesse

L’abus de faiblesse est un délit dont a, à connaître, le Tribunal Correctionnel.

Avocate pratiquant le droit de la famille et le droit pénal, je reçois des clients dont les parents, âgés, ont été victimes d’abus de faiblesse.
L’abus de faiblesse génère beaucoup de désarroi et de souffrance chez les enfants de la victime.
En effet, la victime ne se rend compte de rien puisque son discernement est affecté par la maladie ou par l’âge.
Ma mission d’Avocate répond à un besoin de justice.
Les auteurs de l’abus de faiblesse sont souvent des personnes de l’entourage de la personne âgée qui pour les besoins de la cause, se montrent très prévenantes, aimables, avec une bienveillance feinte pour emporter « le consentement » de leur victime.

Ainsi, j‘ai eu à connaître de situations de personnes âgées dont l’aide ménagère se faisait régler en espèces selon un taux horaire exorbitant, délestait son employeur de mobilier, verrerie, argenterie… prétextant qu’il s’agissait d’une donation alors que la victime n’avait pas tout le discernement nécessaire.
Une aide ménagère avait même fait signer à sa victime et employeur un acte de cession de la voiture de celui-ci, sans prix.
Plus grave, l’aide ménagère se proposait de faire les courses alimentaires de la victime et se faisant remettre par celle-ci des chèques vierges. L’aide ménagère faisant également les courses pour satisfaire ses besoins personnels.

Le milieu professionnel n’échappe pas à la commission de ce délit qu’est l’abus de faiblesse. J’ai eu à connaître d’un concessionnaire automobile qui avait abusé de la faiblesse de la personne âgée pour lui vendre un véhicule « deux portes » alors que la personne âgée de 89 ans avait les pires difficultés à se mouvoir. Le concessionnaire lui avait également « vendu » des options totalement inutiles profitant de la surdité de son client. J’ai adressé, en ma qualité d’avocate, des lettres de « rappel à la Loi » aux personnes malveillantes.

Celles-ci ont permis de rétablir très rapidement la situation : restitution d’objets, annulation des contrats…