Droit de la famille

Avocate au barreau de Poitiers, j’interviens en matière de droit de la famille en cas de séparation de gens non mariés, divorce, prestation compensatoire, liquidation du régime matrimonial (attribution des biens ; partage des dettes), résidence alternée, pension alimentaire, droit de visite et d’hébergement, succession, parents en difficulté (Juge des Enfants – placement des enfants)… et vous accompagne pour résoudre vos difficultés.

Avocate au barreau de POITIERS, je mets tout en oeuvre en matière de droit de la famille pour faciliter les accords.

Séparation / divorce / divorce par consentement mutuel

Je pratique essentiellement le divorce à l’amiable ou divorce par consentement mutuel sans recours au Juge.
Néanmoins, une séparation ou un divorce peut être aussi dévastatrice qu’un tsunami.
L’époux abandonné peut être dans l’incrédulité, le choc émotionnel puis la colère ou le besoin de vengeance.

Lorsque l’émotion submerge la personne, il ne lui est plus possible de penser.

L’époux ou l’épouse abandonné, meurtri, a souvent besoin de temps pour devenir acteur de la séparation.

Ce temps doit lui être donné afin qu’ensemble nous puissions, ensuite, aborder les effets du divorce, afin que je la conseille au mieux de ses intérêts, qu’il ou qu’elle puisse prendre des décisions mûrement réfléchies.

Avocate rompue au règlement amiable des conflits, je pratique des réunions quadripartites (mon client et moi-même, l’autre époux et son avocat) qui vont permettre à chacun de s’exprimer, de se dire « les choses » et également de définir les effets du divorce à l’amiable ou divorce par consentement mutuel.
Les époux ou conjoints sont totalement libres du temps nécessaire à la réussite de leur séparation.
Si la rapidité caractérise la nouvelle procédure en divorce par consentement mutuel sans recours au juge, il ne faut pas confondre rapidité et précipitation. Les époux, s’ils sont sur le même chemin du deuil de la séparation, n’en sont pas à la même distance.

J’ai conseillé un de mes clients qui avait souhaité divorcer mais ne souhaitait pas précipiter les choses, ayant conscience de la souffrance de son épouse.

J’ai proposé à l’avocat de l’épouse, une réunion quadripartite.
L’épouse a prétexté de multiples empêchements pour ne pas se rendre à cette réunion bien qu’elle se dire d’accord sur son principe.
L’épouse, abandonnée par son époux, blessée, a accepté cette rencontre au bout d’un an, après avoir connu l’apaisement.

Les accords intervenus, dans le cadre d’un divorce par consentement mutuel, feront l’objet d’une convention de divorce rédigée par les Avocats. Les accords doivent être mûrement réfléchis et le consentement donné en toute connaissance de cause.

« Je ne veux pas d’une prestation compensatoire à laquelle j’ai droit. A quoi je renonce exactement ? Quels sont mes ressorts ?
Je renonce à cette prestation compensatoire parce que je veux être libre maintenant, tout de suite »
« Je renonce à demander une pension alimentaire pour les enfants parce que le père renonce à demander la résidence alternée ».

Est-ce la bonne démarche ?

Cette convention de divorce, rédigée par les Avocats, sera signée après le délai de réflexion de 15 jours, par les avocats et les époux (ses) et déposée en l’étude d’un Notaire.

En acceptant une réunion quadripartite et donc un échange de points de vue dans la plus stricte confidentialité, les époux font une économie de temps ; le divorce à l’amiable sera plus rapide et les accords vont durer dans le temps.

La convention de divorce peut être signée en n’importe quel lieu.

Divorce - achat d’un bien immobilier

Avocate pratiquant le droit de la famille et le droit immobilier, je suis régulièrement sollicitée par un époux non divorcé qui souhaite acheter une maison avec sa compagne ou son compagnon.
Il y a des risques en cas de décès de l’époux avant le prononcé du divorce. Des solutions existent : ce peut être le pacte de tontine.
Je vous propose de vous recevoir à mon cabinet d’avocate pour vous informer des montages juridiques à mettre en œuvre.

Droit des mineurs - juge des enfants

Avocate faisant partie de l’association « AVOC’ENFANTS » à POITIERS, j’interviens lorsque les parents ont besoin d’une aide éducative pour élever leurs enfants du mieux qu’il est possible.

J’interviens lorsque le Juge des Enfants est saisi mais je peux intervenir avant que le Juge des Enfants ne soit saisi.

Avocate chargée d’une mission de défense, mon travail consiste à éviter le placement des enfants.

Je peux intervenir, aussi bien dans l’intérêt de l’un des parents, que dans l’intérêt du ou des enfants.

Droit des successions

Avocate à POITIERS, j’interviens au moment de l’ouverture de la succession pour régler et liquider celle-ci.

 

Le règlement de la succession : elle consiste à déterminer l’actif (biens) et le passif (dettes) ainsi que les attributions (qui prend quoi ?) qui peuvent se faire à l’amiable ou en ayant recours au Juge.

Le décès d’un proche est un moment douloureux ; il s’y ajoute parfois des incompréhensions entre héritiers, voire des tensions.

 

En matière de droit des successions, j’interviens en tant qu’avocate afin de déterminer la consistance de l’actif (biens) et du passif (dettes).

Ce travail me conduit à recenser tous les biens de la défunte (immobilier : maison,  terrain…) toutes les liquidités, toutes les sommes épargnées, les placements particuliers (métaux précieux, pièces de monnaie), les véhicules immatriculés mais également les dettes de la défunte (emprunt immobilier non remboursé,crédit à la consommation…).

Avocate spécialisée en matière de succession, je demande systématiquement aux prétendus créanciers de la succession de prouver leur créance en produisant des documents signés par la personne décédée ; généralement, la banque se contente de donner des chiffres sans document à l’appui.

Une procédure peut alors être nécessaire pour contraindre la banque à justifier de sa créance et si elle ne le peut pas, le Notaire ne pourra inscrire au passif de la succession les dettes de la défunte non prouvées. En qualité d’Avocate, je peux saisir le Juge.

Une de mes clientes dont la mère est décédée m’a demandé d’effectuer des recherches auprès des services de la publicité foncière afin de déterminer le patrimoine immobilier de sa mère. Ma cliente avait connaissance que sa mère possédait un terrain en Bretagne mais n’en savait pas plus, leurs relations n’étant pas au beau fixe En ma qualité d’avocate, j’ai interrogé chaque service de publicité foncière de la région où la défunte résidait et ai découvert qu’elle possédait un terrain de grande superficie constructible sur une île côtière.

Avocate spécialisée en matière de succession, j‘interviens également lorsque les héritiers sont en désaccord :

  • sur l’évaluation des biens immobiliers, sur les donations dont a bénéficié un des leurs,
  • sur l’attribution des biens,
  • sur la valeur du patrimoine du décédé (l’un des héritiers veut vendre le bien à sa juste valeur alors que l’autre héritier veut en finir et brader la maison).
  • Une de mes clientes souhaitait se voir attribuer un Louis d’Or ayant appartenu à sa mère. Elle souhaitait la posséder pour des raisons d’ordre purement psychologique et liées à la reconnaissance. Sa sœur souhaitait le vendre pour en tirer profit. Un accord a été trouvé afin que les deux sœurs puissent satisfaire leurs besoins.